Mine de rien, ce blog vient de passer
les
1000
articles !
dont 858
recettes simples et faciles publiées à ce jour.
Ô toi Visiteur,
assidu ou occasionnel, sois sincèrement remercié de participer à
cette aventure au pays des saveurs.
Un blog de cuisine
nécessite assez peu de choses : l'envie de cuisiner et de partager,
quelques ustensiles, un ordinateur, un appareil photo... Il est
d'autres acteurs, bien moins visibles, qui sont pourtant de la plus
haute importance. Ceux-là se nomment eux-mêmes familles,
amis ou collègues
; le bloggeur culinaire les appelle secrètement
COBAYES
!
Le bloggeur culinaire
oeuvre pour le Patrimoine Gastronomique de l'Humanité et sa tâche
sacrée ne peut être entravée. C'est pourquoi les cobayes revêtent
une importance vitale pour le bloggeur : eux sont remplaçables, pas
le bloggeur culinaire.
Dans un souci de
pérennité et pour s'épargner
de trop nombreux offices funéraires, le bloggeur culinaire veille
tout particulièrement à recruter une foultitude de cobayes
résistants. Il peut éventuellement s'adonner à la résurrection
vaudoo, mais personnellement,
j'ai trouvé les capacités gustatives des zombies par trop limitées.
Cela reste une option de secours, faute de mieux...
Il convient de varier
l'usage des recettes que l'on teste sur ses cobayes. Comme toute
bonne recette, le succès est dans l'équilibre
: le sucré, le salé, l'amer, le piquant, le fade, le mortel,
l'hasardeux, l'expérimental, le bizarre, l'inimaginable, le
repoussant... (rappel personnel : éviter les amalgames, sinon sortir
encore son costume noir !)
Il faut aussi modérer
ses envies et ne pas utiliser toujours le même cobaye. Le corps
humain est mal conçu et les usages
intensifs conduisent toujours la même conclusion :
costume noir !
Oh ! Remarque importante
: penser à ne pas choisir ses cobayes dans les mêmes cercles ou les
mêmes lieux. Certains pourraient éventuellement s'interroger de
l'absence durable d'untel ou d'une étrange épidémie localisée.
Un check-up médical
complet de chaque cobaye est fortement conseillé tous les 3 mois.
Toujours dans un but de conservation du
cheptel. Il est impératif que les historiques médicaux
soient tenus avec la plus extrême précision. Dans de très rares
cas de démence, les cobayes pourraient subitement se découvrir
l'envie de cuisiner...
Chers cobayes, défunts
ou en sursis, j'aurai toujours une nouvelle recette à vous faire
découvrir ! ^^
Nous en sommes à peu près au même point, c'est amusant. Je résiste très bien à tes petits pains tomate-origan !!!
RépondreSupprimerEntre le moment où je teste sur mes cobayes et celui de la publication des recettes, il se passe au minimum 2 à 3 semaines d'incubation (par sécurité...). Donc les recettes publiées sont seulement celles qui ont le meilleur taux de survie. ^^ La qualité avant tout ! :)
SupprimerMerci de tes nombreuses visites.
Un seul mot : BRAVO ! Pour ce très très très beau blog, que je continue à consulter depuis tout ce temps, ça se compte en années maintenant.
RépondreSupprimerJe t'avais déjà fait part de mes pensées toutes particulières quant à ton blog : un espace vivant, simple, sans prises de tête, super agréable et pratique, facile, bref ... Voilà voilà. Un PLAI-SIR !
Mais surtout : Bonne continuation !
Et ... : Merci !
:-)
Comme toujours, tes bons mots ont la saveur du chocolat à mes oreilles. Ta générosité et ton indulgence me sont aussi précieuses que ta présence de longue date.
SupprimerMerci beaucoup de ta persévérance. :-))
En route pour les 1000 prochains articles !